Les attaques des forces fidèles au président Assad, de la Russie, et des groupes soutenus par l'Iran, provoquent des migrations massives.
Les attaques des forces fidèles au président Assad, de la Russie, et des groupes soutenus par l'Iran, provoquent des migrations massives.
Il s’agit de plusieurs raids aériens exécutés dans la nuit du dimanche au lundi par le régime de Bachar al-Assad et de son allié russe.
Les manifestants appellent la communauté internationale à faire pression sur la Chine pour qu'elle mette fin à la persécution de la minorité musulmane ouïghoure.
«La responsabilité de toute vague de migration depuis Idlib n'est pas la nôtre. Ceci est clair et explicite, et nous ne renoncerons pas notre humanité», déclare le ministre turc de l'Intérieur, Süleyman Soylu.
Selon le Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), le nombre de personnes déplacées de force a atteint 68.5 millions en 2017.
L'Agence turque de coopération et de coordination (TIKA) a fait don de 7 tonnes d'aide alimentaire à 200 familles immigrées de différentes parties de la Libye dans la capitale, Tripoli.
La TIKA de Turquie restaure une école primaire, un collège et un lycée dans la ville de Tal Afar, au nord de l'Irak.
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