Ces mamans manifestent devant le siège du Parti démocratique des peuples (HDP-opposition), critiqué pour ses présumés liens avec le PKK, à Diyarbakir (sud-est). Elles considèrent que le HDP joue un rôle majeur dans la disparition des jeunes enfants dans cette région de la Turquie.
Le combat des "mamans de Diyarbakir", qui depuis plusieurs semaines montent la garde devant le siège locale du HDP et réclament le retour de leurs enfants enlevés et enrôlés de force par les terroristes du PKK, se poursuit.
Le mouvement entamé le 3 septembre 2019 par les "mamans de Diyarbakir", qui réclament le retour de leurs enfants emmenés de force par l’organisation terroriste PKK et tiennent pour responsable de ses enlèvements les membres du Parti démocratique des peuples (HDP-opposition), rentre dans son 112ème jour.
Ces familles manifestent devant le siège du parti HDP, critiqué pour ses présumés liens avec le PKK, à Diyarbakir (sud-est). Elles considèrent que le HDP joue un rôle majeur dans la disparition des jeunes garçons dans cette région de la Turquie.
Parmi les enfants enlevés et embrigadés, on retrouve des garçons et des filles dont certains sont à peine âgés de 12 ans. Parmi eux, nombreux sont victimes d'agressions sexuelles commises par les dirigeants de l'organisation terroriste.
Le PKK ("Parti des travailleurs du Kurdistan") est répertorié comme une organisation terroriste par la Turquie, les États-Unis et l'Union Européenne. Au cours de sa campagne terroriste de quatre décennies contre la Turquie, le PKK a tué plus de 40 000 personnes sur le territoire turc, dont 7 000 civils.
Mehmet Sıddık Kaya, Aziz Aslan, Ayvaz Çolakoğlu
Photographie : Archive, Agence Anadolu
ACTUALITÉ CONNEXE
Les terroristes ont tenté de s'infiltrer dans les territoires du Nord de la Syrie, débarrassés de la présence terroriste dans le cadre des opérations militaires turques.
Les terroristes neutralisés à Metina et dans les régions de Gara préparaient une attaque sur le territoire turc, selon le ministère turc de la Défense.
Une enquête a été ouverte sur un diaporama diffusé lors du congrès du Parti démocratique du peuple, montrant le chef emprisonné du groupe terroriste du PKK.
Les forces armées américaines n'ont pas fait d'inventaire complet, ou de stockage sûr, de ces armes au Moyen-Orient, selon un rapport du Pentagone.
Les parents attendent devant le bureau régional du parti HDP, dans l'espoir de retrouver leurs enfants enlevés par l'organisation terroriste PKK.
L'organisation terroriste YPG/PKK soutient les attaques du Régime de Bachar al-Assad dans la campagne du nord-ouest syrien, à l'intérieur des limites de la zone de désescalade d'Idleb
La jeune fille s'est rendue aux Forces de sécurité à Sanliurfa et la bonne nouvelle a été annoncée à la famille par le ministre turc de l'Intérieur, Suleyman Soylu.
Les deux terroristes du PKK/YPG ont fui les camps du l'organisation terroriste dans le Nord de la Syrie et se sont rendus aux Forces turques.
Des enfants sont souvent victimes de ces mines et de ces engins explosifs improvisés, selon le ministère turc de la Défense nationale.
Le sit-in continue dans l'est de la Turquie depuis 164 jours alors que les familles aspirent au retour de leurs enfants enlevés ou trompés par le PKK.
Les suspects ont été placés en garde-à-vue.
Le ministère turc de la Défense a indiqué que les terroristes du PKK/YPG s'apprêtaient à commettre une attaque.
Selon le ministère turc de l'Intérieur, 13 terroristes se sont rendus depuis le nouvel an.
Une autre famille se joint à la manifestation contre le groupe terroriste du PKK le 135e jour devant le bureau de Diyarbakir d'un parti politique.
Le ministère turc de la Défense arapporté que les soldats ont été tué dans un attentat à la voiture piégée lors du contrôle routier dans la zone de l'opération Source de paix.
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